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Brigitte Bardot ne veut plus qu'on exploite son image : "Brigitte n'est pas contente"

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Brigitte Bardot ne veut plus qu'on exploite son image : "Brigitte n'est pas contente"

Brigitte Bardot ne veut plus qu'on exploite son image : "Brigitte n'est pas contente"

"Brigitte Bardot n'est pas contente".Le mari de BB, Bernard d'Ormale est furieux et le fait savoir par voie de presse en s'indignant dans les colonnes de Var Matin de l'exploitation abusive de l'image de Brigitte Bardot, alors que vient de s'ouvrir une nouvelle boutique de produits à St Tropez à l'effigie de la star. Une de plus, une de trop.Le peintre Sasha vient d'ouvrir une nouvelle échoppe rue des Remparts à St Tropez. Déjà propriétaire d'une boutique vendant des tableaux représentant BB, aujourd'hui l'artiste commercialise "des bougies, des montres, des espadrilles, des assiettes" et autres objets dérivés à l'image de Brigitte Bardot. Une commercialisation qui rend furieux le mari de Bardot : "Il y a des proportions dans l'exploitation! On a l'habitude de voir des représentations de BB partout mais là c'est trop! Dans la boutique, il y a des bougies, des montres, des espadrilles, des assiettes, des tas de trucs! Bientôt, on va faire des bagnoles avec le nom BB!" s’énerve-t-il avant de s'en prendre directement à Sasha, le menaçant d'actions en justice : "Tu vends des produits représentant BB sans son autorisation. Brigitte n'est pas contente. Le seul droit qu'elle possède, c'est son droit à l'image: on ne met pas les gens comme ça devant le fait accompli. La semaine prochaine, nous t'envoyons l'huissier".A l'AFP, le commerçant du célèbre port varois se défend et rétorque : "Je ne vois pas pourquoi je devrais retirer ces objets, car ils reproduisent mes peintures, qui m'appartiennent. J'ai par ailleurs tenté plusieurs fois de joindre M. d'Ormale, à qui je souhaite proposer de partager une partie des recettes tirées de leur vente, au profit de la Fondation Brigitte Bardot, dont j'apprécie l'action. Quand je suis arrivé ici il y a treize ans, l'image de BB n'était pas associée à Saint-Tropez. C'est moi qui ai lancé l'idée et depuis tout le monde m'a suivi. Quant aux autorisations, il faut parfois savoir passer outre. Comme lorsque je suis arrivé dans la cité sans un sou en poche et que j'ai pris d'office ma place sur le port, pour ne pas crever de faim" s'explique-t-il.Mais pour l'époux de l'ex pin-up, il n'est pas question d'un tel business ("La Fondation n'a rien à voir dans cette affaire. Elle ne vit que de dons,  pas de royalties, et n'a pas le droit de faire du commerce") et cette exploitation "abusive" de l'image de BB sera portée devant les tribunaux."S'il faut aller en justice, j'irai en justice" réplique le peintre. "A ses risques et périls" conclut Bernard d'Ormale.MC