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Il y a quelques semaines nous réunissions autour de la table plusieurs réalisateurs français qui font preuve de constance dans leur ambition sans jamais oublier le public. Ce mois-ci nous avons traversé la Manche pour essayer de comprendre comment un certain cinéma britannique réussissait toujours à être « pop », c’est-à-dire populaire et cool. Deux sujets différents mais pour Première une même envie : célébrer le cinéma qui sait divertir sans renoncer à être beau, exigeant, et qui tente de fédérer autrement qu’en cherchant le plus petit dénominateur commun.La leçon anglaise du mois c’est aussi qu’on peut innover en restant fidèle à son histoire, mais qu’on peut entrer dans le panthéon sans se déchausser, foutre la zone, ne prendre que le meilleur et s’en servir pour avancer.C’est aussi - modestement - ce que nous avons voulu pour notre nouvelle formule, essayer d’être plus moderne, plus dynamique mais aussi plus pédagogique, d’aller plus en profondeur sans couler tout le monde et sans nous perdre en chemin. Lire Première c’est se cultiver tout en se divertissant, et ce depuis 1976. S’il y a une chose qu’on n’a pas voulu changer c’est bien celle-là.Daniel de Almeida, directeur de la rédaction (@dandealmeida)Vous pouvez partager vos enthousiasmes, critiques, questions sur cette nouvelle formule via Facebook ou [email protected].Les abonnés découvrent dès ce numéro une couverture collector sans les accroches, afin de profiter pleinement de nos belles photos de Une. Vous pouvez vous abonner via ce lien.Découvrez ici le sommaire du nouveau numéro en images