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PHOTOS - Oscars 2011 : des parodies d'affiches qui tiennent leurs promesses !

The kids are all right de Lisa Cholodenko : Les lesbiennes ont aussi des problèmes

<strong>Lisa Cholodenko</strong> raconte l?histoire d?une famille aisée dont les parents sont deux femmes. Le donneur de sperme, contacté par les enfants, vient perturber le ronron relationnel de Nic (<strong>Annette Bening</strong>) et Jules (<strong>Julianne Moore</strong>). D'où ce titre sans doute plus évocateur que Les enfants vont bien...

Black Swan de Darren Aronofski : Il y a une scène de sexe entre lesbiennes !

Lorsque vous verrez <em>Black Swan</em>, vous vous souviendrez de la scène torride entre <strong>Natalie Portman</strong> (Nina) et <strong>Mila Kunis</strong> (Lilly). En tout cas, elle a marqué les créateurs de cette affiche ! Et on ne peut s'empêcher de penser que titré ainsi, le film de <strong>Darren Aronofsky</strong> aurait eu encore plus de succès...

The social network de David Fincher : Il apparaît que le créateur de Facebook est en fait un gros c...

Le fil rouge de ce drame est le procès de Mark Zuckerberg (<strong>Jesse Eisenberg</strong>), inventeur de Facebook, qui déterminera à qui revient la paternité du réseau social planétaire. Mais le film dépeint surtout la personnalité étonnante du créateur du site communautaire et tente de comprendre ce qu'il l'a amené à monter ce projet. Il n'en ressort pas vraiment un portait des plus flatteurs...

True Grit des frères Coen : Ooooooooh putain oui !

Le remake de 100 dollars pour un shérif<strong> </strong>des frères Coen s?est transformé en un western brutal qui donne à réfléchir sur le hasard et la fatalité. Mais c'est surtout l'occasion de revoir <strong>Jeff Bridges</strong> dans l'un de ses meilleurs rôles depuis The Big Lebowski. D'où ce "Fuck, yeah" d'approbation.

Toy Story 3 de Lee Unkrich : Vous allez pleurer !

Petit clin d??il puisque la plus célèbre bande de jouets se retrouve... à la crèche ! Ils vont devoir se carapater pour échapper aux petits doigts boudinés des bébés saccageurs. A prendre également au sens propre pour beaucoup de spectateurs, qui n'ont pu retenir leurs larmes à la fin du film...

Love et autres drogues de Edward Zwick : Je serais irregardable sans nudité !

Ce film n?est pas nominé aux oscars mais <strong>Anne Hathaway</strong> animera la cérémonie en compagnie de <strong>James Franco</strong>. Cela étant dit, cette comédie romantique caricature le type du beau mec séducteur et de la femme sexy et indépendante qui fuient l?engagement émotionnel.Mais apparemment, seules les scènes de sexe ont marqué les créateurs de ce poster.

The fighter de David O. Russel : Comme The Wrestler, mais avec de la boxe

Dans son long métrage, <strong>David O. Russel</strong> met en scène un jeune boxeur Micky Ward (<strong>Mark Wahlberg</strong>) en proie à de lourdes contrariétés personnelles et professionnelles, un peu comme dans le film d?<strong>Aronofsky</strong>, The wrestler.

Winter’s bone de Debra Granik : Les gens pauvres dépriment

<em>Winter?s bone</em> est l?histoire d?une famille modeste abandonnée par le père que la fille recherche sans relâche pour sauver ses frères et s?urs de l?extrême pauvreté. Pas sûr que ce titre aurait attiré grand monde dans les salles.

Inception de Christopher Nolan : C'est bien mieux défoncé

La prise de substances illégales favoriserait-elle la compréhension du dernier film de Nolan ? C'est en tout cas ce que sous-entend ce poster qui se moque de l'intrigue alambiquée (on n'a pas dit incompréhensible) du dernier film de <strong>Christopher Nolan</strong>, jugée incompréhensible par certains.

127 hours de Danny Boyle : Vous devez attendre 85 minutes jusqu’à ce qu’il se coupe son bras.

Dans la fiction de Dany Boyle, Aron Ralston, alpiniste expérimenté (<strong>James Franco</strong>) passe 127 heures coincé dans la roche d?un Canyon et le spectateur 85 minutes, coincé dans son fauteuil attendant que la situation se décante.

The ghost writer de Roman Polanski : Allégorie à peine voilée de Blair

Un nègre (<strong>Ewan McGregor</strong>) est engagé pour terminer les mémoires de l?ancien premier ministre, Adam Lang (<strong>Pierce Brosnan</strong>). Mais en enquêtant sur la disparition de l?ancien rédacteur, le nègre découvre les turpitudes politiques de l?ex premier ministre.<strong> </strong>Toute ressemblance entre les ennuis judiciaires d?Adam Lang et les difficultés de <strong>Tony Blair</strong> devant la commission parlementaire britannique qui enquête sur la participation de la Grande-Bretagne à la guerre en Irak n?est évidemment pas une coïncidence.

Le discours d’un roi de Tom Hooper : Les gars, vous aimez The Queen, hein ?

Les vraies affiches du<em> Discours d'un roi </em>montraient soit <strong>Colin Firth</strong> seul face à un micro, soit <strong>Colin Firth</strong> en compagnie de <strong>Geoffrey Rush</strong>, qui incarne son coach vocal dans le film. Une situation qui amuse ces pasticheurs de posters, qui jouent sur le double sens du mot Queen, sous-entendant que leurs personnages sont gays... ou que le film surfe sur le succès de The Queen, le film !

Des parodies d'affiches qui tiennent leurs promesses !

<strong>Les affiches sont souvent mensongères</strong>. Bien souvent, un poster qui illustre dynamisme et action s?avère être celui d?un film terriblement ennuyeux. Au contraire, certains paraissent insipides et cachent de singuliers bijoux cinématographiques. <strong>Et si les affiches de film promettaient enfin la vérité, et rien que la vérité ?</strong>De facétieux internautes pour le site <em>The shiznit</em> ont imaginé d'autres titres ou accroches pour les affiches des films nominés aux Oscars. 127 heures, Black Swan,Le discours d'un roi, Toy Story 3 sont ainsi parodié sans vergogne, ainsi que Love et autres drogues, puisqu'il est porté par <strong>Anne Hathaway</strong>, choisie pour présenter la cérémonie avec <strong>James Franco</strong>.<strong>Découvrez ici des posters de films qui tiennent enfin leurs promesses ! </strong>

Les affiches sont souvent mensongères. Bien souvent, un poster qui illustre dynamisme et action s’avère être celui d’un film terriblement ennuyeux. Au contraire, certains paraissent insipides et cachent de singuliers bijoux cinématographiques. Et si les affiches de film promettaient enfin la vérité, et rien que la vérité ?De facétieux internautes pour le site The shiznit ont imaginé d'autres titres ou accroches pour les affiches des films nominés aux Oscars. 127 heures, Black Swan,Le discours d'un roi, Toy Story 3 sont ainsi parodié sans vergogne, ainsi que Love et autres drogues, puisqu'il est porté par Anne Hathaway, choisie pour présenter la cérémonie avec James Franco.Découvrez ici des posters de films qui tiennent enfin leurs promesses ! 127 hours de Danny Boyle : Vous devez attendre 85 minutes jusqu’à ce qu’il se coupe son bras.Dans la fiction de Dany Boyle, Aron Ralston, alpiniste expérimenté (James Franco) passe 127 heures coincé dans la roche d’un Canyon et le spectateur 85 minutes, coincé dans son fauteuil attendant que la situation se décante.Black Swan de Darren Aronofski : Il y a une scène de sexe entre lesbiennes !Lorsque vous verrez Black Swan, vous vous souviendrez de la scène torride entre Natalie Portman (Nina) et Mila Kunis (Lilly). En tout cas, elle a marqué les créateurs de cette affiche ! Et on ne peut s'empêcher de penser que titré ainsi, le film de Darren Aronofsky aurait eu encore plus de succès...The fighter de David O. Russel : Comme The Wrestler, mais avec de la boxeDans son long métrage, David O. Russel met en scène un jeune boxeur Micky Ward (Mark Wahlberg) en proie à de lourdes contrariétés personnelles et professionnelles, un peu comme dans le film d’Aronofsky, The wrestlerInception de Christopher Nolan : Mieux qu’un shootLorsque le spectateur s’infiltre avec Dom Cobb (Leonardo DiCaprio) dans le subconscient des gens pour en extraire leurs pensées les plus secrètes, il n’en ressort pas indemne, sous-entend ce poster qui se moque de l'intrigue du dernier film de Christopher Nolan, jugée incompréhensible par certains.Le discours d’un roi de Tom Hooper : Les gars, vous aimez The Queen, hein ?Les vraies affiches du Discours d'un roi montraient soit Colin Firth seul face à un micro, soit Colin Firth en compagnie de Geoffrey Rush, qui incarne son coach vocal dans le film. Une situation qui amuse ces pasticheurs de posters, qui jouent sur le double sens du mot Queen, sous-entendant que leurs personnages sont gays... ou que le film surfe sur le succès de The Queen, le film !The kids are all right de Lisa Cholodenko : Les lesbiennes ont aussi des problèmesLisa Cholodenko raconte l’histoire d’une famille aisée dont les parents sont deux femmes. Le donneur de sperme, contacté par les enfants, vient perturber le ronron relationnel de Nic (Annette Bening) et Jules (Julianne Moore). D'où ce titre sans doute plus évocateur que Les enfants vont bien...The social network de David Fincher : Il apparaît que le créateur de Facebook est en fait un gros c...Le fil rouge de ce drame est le procès de Mark Zuckerberg (Jesse Eisenberg), inventeur de Facebook, qui déterminera à qui revient la paternité du réseau social planétaire. Mais le film dépeint surtout la personnalité étonnante du créateur du site communautaire et tente de comprendre ce qu'il l'a amené à monter ce projet. Il n'en ressort pas vraiment un portait des plus flatteurs...Toy Story 3 de Lee Unkrich : Vous allez pleurer !Petit clin d’œil puisque la plus célèbre bande de jouets se retrouve... à la crèche ! Ils vont devoir se carapater pour échapper aux petits doigts boudinés des bébés saccageurs. A prendre également au sens propre pour beaucoup de spectateurs, qui n'ont pu retenir leurs larmes à la fin du film...True Grit des frères Coen : Ooooooooh putain oui !Le remake de 100 dollars pour un shérif des frères Coen s’est transformé en un western brutal qui donne à réfléchir sur le hasard et la fatalité. Mais c'est surtout l'occasion de revoir Jeff Bridges dans l'un de ses meilleurs rôles depuis The Big Lebowski. D'où ce "Fuck, yeah" d'approbation.Winter’s bone de Debra Granik : Les gens pauvres déprimentWinter’s bone est l’histoire d’une famille modeste abandonnée par le père que la fille recherche sans relâche pour sauver ses frères et sœurs de l’extrême pauvreté. Pas sûr que ce titre aurait attiré grand monde dans les salles.Love et autres drogues de Edward Zwick : Je serais irregardable sans nudité !Ce film n’est pas nominé aux oscars mais Anne Hathaway animera la cérémonie en compagnie de James Franco. Cela étant dit, cette comédie romantique caricature le type du beau mec séducteur et de la femme sexy et indépendante qui fuient l’engagement émotionnel.Mais apparemment, seules les scènes de sexe ont marqué les créateurs de ce poster.The ghost writer de Roman Polanski : Allégorie à peine voilée de BlairUn nègre (Ewan McGregor) est engagé pour terminer les mémoires de l’ancien premier ministre, Adam Lang (Pierce Brosnan). Mais en enquêtant sur la disparition de l’ancien rédacteur, le nègre découvre les turpitudes politiques de l’ex premier ministre. Toute ressemblance entre les ennuis judiciaires d’Adam Lang et les difficultés de Tony Blair devant la commission parlementaire britannique qui enquête sur la participation de la Grande-Bretagne à la guerre en Irak n’est évidemment pas une coïncidence.