PHOTOS - Dark Shadows, Tetro... Quand la famille tient le haut de l'affiche

PHOTOS - Dark Shadows, Tetro... Quand la famille tient le haut de l'affiche

Chasing Liberty de Andy Cadiff (2004)

Le gimmick : Chaque famille a un rebelle, même celle du PrésidentLe pitch : Anna Foster, fille du président des Etats-Unis, rencontre un étudiant anglais pendant un séjour diplomatique à Prague. Sauf que cet étudiant travaille en réalité pour son père...

Chaque famille a...

<strong><em>"Chaque famille a ses démons"</em>, voilà ce que vous pouvez lire sur l'affiche de prochain&nbsp;Tim Burton,&nbsp;Dark Shadows.</strong> Le film narre l'histoire de Barnabas, riche et puissant propriétaire du 18ème siècle transformé en vampire par une sorcière jalouse. Enterré vivant, il se réveille en 1972 dans un monde totalement transformé. Pour plus de détails, retrouvez notre <strong>décryptage de la bande-annonce du film, en 50 photos</strong>. A présent, intéressons-nous à l'affiche du film. Très colorée, elle s'éloigne des premières images du projet, mais colle par contre avec <strong>la première vidéo</strong>, qui annonce contre toute attente une pure comédie. Oui, Burton retrouve une l'ambiance gothique qui lui est si chère, mais le rythme et les situations cocasses laissent penser que le long-métrage sera loin d'être sombre et dramatique ! Voici donc la famille de Barnabas Collins, accompagnée d'une accroche qui colle au sujet du film :<em> "Chaque famille a ses démons</em>". Sachant que l'histoire verra défiler sorcières et vampires, l'expression est à prendre au sens propre ! Par contre, on ne peut pas dire que la formule soit très originale : le gimmick <em>"Chaque famille a..."</em> ne date pas d'hier et <em>Première</em> vous propose de passer en revue les films utilisant cette accroche éculée.

Hanging up de Diane Keaton (2000)

Le gimmick : chaque famille a des petits complexesLe pitch : Trois soeur perdues dans leurs vies doivent laisser de côté leurs petits tracas personnels pour s'occuper de leur père mourant.

My dog skip de Jay Russel (2000)

Le gimmick : chaque famille a besoin d'un optimisteLe pitch : Willie, huit ans, n'a pas une vie facile. Rejeté par les autres enfant et trop couvé par son père, il peut néanmoins compter sur le soutien son fidèle compagnon canin, Skip. Onze plus tard, Willie quitte la maison familiale. La séparation avec Skip est plutôt difficile.&nbsp;

Nicholas Nickleby de Douglas McBrath (2002)

Le gimmick : chaque famille a besoin d'un hérosLe pitch : Nicholas, un jeune homme sans le sou, est obligé d'enseigner dans une école du Yorkshire pour nourrir sa famille. Il décide un jour de tout plaquer pour rejoindre une troupe de théâtre.

Spanglish de James L.Brooks (2004)

Le gimmick : chaque famille a un hérosLe pitch : Flor, une jeune mexicaine, devient gouvernante chez les Clasky, une famille aisée. Flor prend rapidement conscience que l'harmonie ne règne pas dans cette famille en apparence heureuse.

Tetro de Francis Ford Coppola (2009)

Le gimmick : Chaque famille a un secretLe pitch : Un jeune marin retrouve son frère aîné Tetro disparu il y dix ans. L'ombre d'un père&nbsp;despotique&nbsp;plane toujours et rend les relations fraternelles compliquées. Quels secret familiaux ces retrouvailles vont-elles&nbsp;révéler ?

Wah-Wah de Richard E.Grant (2005)

Le gimmick : Chaque famille a son propre langage.Le pitch : Film semi-autobiographique dans lequel le comédien Richard E.Grant replonge en enfance et revient sur le divorce de ses parents en pleine&nbsp;indépendance&nbsp;de la province de Swaziland en Afrique du Sud. La décomposition familiale accompagne celle de l'empire britannique.