Choix numéro 1 : L’Âge de Glace 4, de Steve Martino, Michael Turmeier avec Ray Romano, Denis Leary, John Leguizamo ...Synopsis : Plus décidé que jamais à attraper ce satané gland, Scrat va à son insu déclencher le plus grand cataclysme que la terre ait connu : la dérive des continents. A cause de ce changement brutal d'environnement, Manny, Diego et Sid se retrouvent séparés du reste de la horde. Et les voilà partis pour leur plus grande aventure ! Essayant de rejoindre leurs amis à tout prix, ils utilisent un iceberg comme bateau et se retrouvent dans un périple maritime épique ! Manny et ses comparses sont, plus que jamais, obligés de braver les épreuves, et d'accomplir l'impossible. Dans leur odyssée, ils vont rencontrer des créatures marines exotiques, explorer un nouveau monde et même affronter de terribles pirates ! Si ce voyage va peut-être permettre à Diego de trouver l'amour, Sid, lui, va trouver sur son chemin son épouvantable grand-mère ... Quant à Scrat ? Ses retrouvailles avec son insaisissable gland adoré le catapultent dans des endroits où aucun écureuil préhistorique n'est jamais allé...Pas d'avis sur ce film Bande annonce : Choix numéro 2 : Starbuck, de Ken Scott avec Parick Huard, Julie LeBreton, Antoine Bertrand ... Synopsis : David Wozniak, 42 ans mais toujours adolescent au fond de lui, a survécu durant sa jeunesse en vendant son sperme sous le pseudonyme de Starbuck. Alors que sa femme Valérie attend leur premier enfant et qu'elle le pense trop immature pour s'occuper d'un bébé, David apprend qu'il est déjà père de ... 533 enfants. En effet, 142 de ses progénitures, nés de ses dons de sperme, cherchent à connaître l'identité de ce fameux Starbuck et font donc pression auprès de la clinique de fertilité pour enfin faire connaissance avec leur père biologique. Autant dire que la vie de ce livreur d'une boucherie familiale va être bouleversée par cette nouvelle. Une situation d'autant plus difficile à assumer qu'au même moment, David est poursuivi par une bande de gangster à qui il doit la somme de 80 000 dollars ...L'avis de Première : Des prix dans certains festivals, un joli succès dans son pays d’origine, un remake US avec Vince Vaughn dans les tuyaux... Starbuck arrive chez nous précédé d’une réputation de petit phénomène à surveiller et, surtout, armé d’un pitch aussi insolite qu’imparable. Que se passe-t-il lorsqu’un grand enfant apprend qu’il a plus de 500 rejetons ? Ken Scott a choisi de répondre à cette question par une comédie totalement dénuée de cynisme où règnent les bons sentiments et une volonté de brosser le grand public dans le sens du poil, jusqu’au final, conçu pour déclencher des olas dans les salles. La définition même d’une œuvre « généreuse », désarmante à défaut d’être mordante, à laquelle il est difficile de reprocher son envie d’en donner toujours un peu trop. Même s’il lui arrive de le faire avec maladresse, Starbuck est un film qui vous veut du bien.Bande annonce : Choix numéro 3 : Un bonheur n'arrive jamais seul, de James Huth avec Sophie Marceau, Gad Elmaleh, François Berleand ...Synopsis : Sacha aime ses amis, son piano, la fête. La nuit, il joue dans un club de jazz et séduit des jolies filles.  Il vit dans l’instant, pour le plaisir. Sans réveil-matin, sans alliance, sans impôt.  Charlotte a trois enfants, deux ex-maris et une carrière professionnelle à gérer.  Elle n’a aucune place pour une histoire d’amour.  Tout les oppose. Ils n’ont rien à faire ensemble… Ils sont faits l’un pour l’autre.L'avis de Première : Le cinéma de James Huth est pavé de bonnes intentions. Quelquefois, ça marche, comme dans Brice de Nice, dont le désir fervent d’appliquer en France les recettes des comédies teen américaines forçait le respect. Parfois, ça rate (Lucky Luke, quelqu’un ?). Pour ce Bonheur n’arrive jamais seul, le réalisateur a sans doute voulu retrouver l’essence des grandes comédies hollywoodiennes réalisées par Billy Wilder et Blake Edwards. Pari risqué et, soyons francs, pas vraiment tenu. Pourtant, le couple formé par Elmaleh et Marceau fonctionne plutôt bien, même le premier a parfois tendance à confondre cinéma et one-manshow. Mais il ne suffit pas d’éclairer les regards « à la manière de » et d’enchaîner les gags pour rivaliser avec les maîtres précités.Bande annonce : Les autres sorties de la semaine sont ici